Alors que l’enquête se poursuit pour reconstituer l’accident qui a fait une victime vendredi à Mont-Saint-Hilaire, le jeune conducteur de l’automobile qui a percuté l’autobus scolaire se trouve toujours dans un état critique à l’hôpital.L’accident a fait une victime de 18 ans, Danyka Grabosky. Cette dernière était la passagère de l’automobile conduite par le jeune homme de 19 ans.Le boulevard Sir-Wilfrid-Laurier a été fermé à la circulation pendant un peu plus de six heures vendredi soir.La vitesse serait en cause dans cet accident. Selon des témoins interrogés sur place, un autre véhicule aurait roulé très rapidement et ne se serait pas arrêté après la collision. La police de Richelieu-Saint-Laurent et la Sûreté du Québec ne peuvent toutefois pas infirmer ou confirmer cette hypothèse pour l’instant et poursuivent son investigation.Sur la quarantaine d’élèves dans l’autobus en provenance du Collège Saint-Hilaire, 25 ont été transportés à l’hôpital de Saint-Hyacinthe après l’incident. Sources : CBC & TVA NOUVELLES Alexandre Beaupré | Actualité , Transports & Drame
14 Mai 2016 | 13:50 EDT C’est une véritable atmosphère de panique qui régnait quelques instants après l’accident impliquant un autobus scolaire vendredi après-midi à Mont-Saint-Hilaire. «Tout le monde pleurait», raconte Émile Avon, qui a reconnu des amis parmi les jeunes qui sortaient de l’autobus accidenté. «J’ai vu le monde sortir de la porte de secours d’en arrière, poursuit le jeune. Il y en avait une avec le visage ensanglanté et une autre avec son bras.» Une famille qui se trouvait dans un véhicule tout près a aussi été témoin de l’ambiance d’affolement sur les lieux de la collision. «C’est ma fille qui a entendu l’impact, relate Lyne Perreault. Quand on a vu ça, on a vu du trafic. Quand j’ai ouvert la porte, c’est là que j’ai vu qu’il y a avait plein de monde. Il y avait à peu près une centaine de personnes attroupées à l’endroit où se trouvait l’autobus pour essayer de secourir les enfants.» «Tout le monde était paniqué, poursuit sa fille Alya Brulotte qui s’est approchée de la scène de l’accident avec son amoureux. Tout le monde regardait et se demandait ce qui se passait.» Alya a pu compter sur l’aide d’un ami qui était présent lui aussi pour lui expliquer ce qui venait de se passer. «Il y avait l’automobile qui était complètement détruite, enchaîne-t-elle. L’autobus était sur le côté, les élèves étaient paniqués, ils étaient en plein milieu du terre-plein. Les gens autour paniquaient. J’ai vu les pompiers arriver pour essayer d’ouvrir l’auto.» Sources : CBC & TVA Alexandre Beaupré | Actualité , Transports & Drame
13 Mai 2016 | 20:08 EDT La femme de 58 ans qui a perdu la vie dimanche dernier sur la route 271 vient confirmer la sinistre règle d’un décès en moyenne par année à cet endroit.Vers 21 h 15, Sylvie Létourneau circulait sur cette route étroite qui relie Saint-Georges à Saint-Ephrem en passant par Saint-Benoît, où elle habitait. La conductrice était en forme cette semaine-là, confirme sa sœur Lise. L’hypothèse la plus plausible est qu’elle se soit simplement endormie au volant.«Elle s’est endormie, aurait quitté la chaussée et aurait donné un coup de volant.» L’accotement est étroit, alors qu’il a été élargi un peu plus loin. «C’est une route où circule beaucoup de monde. C’est très dangereux», déplore Lise Létourneau. Une courbe et une côte compliquent la circulation. «Il y aurait sûrement des correctifs à apporter», poursuit la sœur de la victime. Sa voisine Diane Sylvain confirme. «Je n’en reviens pas comme je vois des accidents, c’est effrayant!» Les voitures arrivent en haut de la côte «la pine au fond», comme on dit en Beauce. Le Journal a compté quatre décès en autant d’années sur la route 271. Plus troublant encore, trois d’entre eux sont survenus au même endroit, à l’angle du rang Saint-Pierre. Avant Sylvie Létourneau, Marie-Claude Dulac, 17 ans, Stéphane Morin, 45 ans, et Éric Drouin, 25 ans, sont morts sur cette route. Le site Beauce.tv rapporte nombre d’accidents graves qui n’ont pas fait de morts. «On va attendre le rapport du coroner et espérer que ses conclusions soient assez puissantes pour faire bouger Transports Québec», lance le maire de Saint-Georges, Claude Morin. Les accidents graves sont toujours signalés à Transports Québec et une analyse est faite pour savoir si des améliorations peuvent être apportées, indique la porte-parole Cynthia Boissonneault. «Pour l’instant, dans les accidents qu’on a analysés, ce n’est pas la route qui est en cause.» Souvent, la fatigue et la vitesse sont les causes des accidents. Toutefois, après deux accidents graves en un mois dans le même secteur, Transports Québec promet de pousser l’analyse «plus loin». Source : JDM (Journal de Montréal) Alexandre Beaupré | Actualité & Transports
23 Avril 2016 |
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