La santé avant tout ! Il y a des limites à écouté comme des robots les ordres! Deux soldats s'effondrent à cause de la chaleur , en attendant l'arrivé du président Mexicain ! *J'aimerais avoir votre point de vue sur cet événement. Source : Twitter (LAPRESSE) Alexandre Beaupré | Québec & Santé
27 Juin 2016 | 15:41 EDT | Mis à jour : Aucun Dès le mercredi 1er juin, l’entrée en vigueur de la nouvelle grille tarifaire entourant la rémunération des médecins omnipraticiens va mettre en péril les examens annuels pour les personnes en bonne santé.L’examen complet majeur, mieux connu sous le nom d’examen annuel ou examen de routine, cède sa place aux visites de suivi et aux visites ponctuelles mineures, beaucoup moins rémnumérées qu’autrefois, pour les patients sans condition de santé particulière.C’est que l’examen de routine d’une personne en santé prend souvent moins de temps que celui d’une personne malade, atteinte d’une maladie chronique ou avec des antécédents de santé importants.Les tarifs pour les visites périodiques pour ces patients vulnérables s’élèveront quant à eux jusqu’à 123,45 $ dans certains cas. Source : Tva Nouvelles Alexandre Beaupré | Politique & Santé
1er Juin 2016 | 19:18 EDT | Mis à jour : Aucun Près de la moitié des crèmes solaires testées par le magazine américainConsumer Report n’atteignent pas l’objectif de protection annoncé sur la bouteille. Dans les quatre dernières années, la publication a testé 104 produits. Du nombre, 48 % ne rencontraient pas l’indice de protection solaire (SPF) qu’ils annonçaient.Une crème solaire qui n’est pas assez efficace met plus à risque pour les coups de soleil, les rides et les cancers de la peau. La Food and Drug Administration (FDA), l’autorité américaine qui surveille les produits de santé, ne teste pas fréquemment l’efficacité des crèmes solaires. Selon le magazine, les entreprises qui les fabriquent ne fournissent pas systématiquement les données de leurs tests. Elles les conservent au cas où la FDA les demanderait. Les crèmes solaires composées d’éléments minéraux (dioxyde de titane, oxyde de zinc) sont en majorité moins performantes que l’indice annoncé (74 %). Celles à partir de composés chimiques atteignent leur objectif dans une plus grande proportion (58 %). Pour bien se protéger, le magazine recommande de choisir une crème solaire plus forte que le besoin réel, pour être bien sûr d’avoir un SPF approprié. Source : Consumer Report Alexandre Beaupré | Actualité & Santé
26 Mai 2016 | 17:19 EDT Une nouvelle infection transmise sexuellement (ITS) inquiète de plus en plus les professionnels de la santé du Canada. Il s’agit du mycoplasma genitalium qui serait aujourd’hui une ITS commune à Toronto. Cette infection, causée par une bactérie de très petite taille, a été découverte il y a une vingtaine d’années en Angleterre. Elle est bien présente aujourd’hui au Canada, a rapporté Global News mardi. De plus, elle est très contagieuse et résiste aux traitements. L’épidémiologiste torontoise Dionne Gesink a publié récemment une première étude faisant état de la prolifération de cette ITS au Canada, plus précisément à Toronto.«Non seulement le mycoplasma genitalium est aussi répandu que la chlamydia et la gonorrhée au Canada, il est ici depuis assez longtemps, et il n’a pas encore été véritablement traité», affirme la Dre Gesink. Les symptômes du mycoplasma genitalium ressemblent à ceux de la chlamydia et de la gonorrhée, et peuvent entraîner des inflammations pelviennes et la stérilité. Toutefois, les traitements pour ces deux infections ne conviennent pas pour le combattre. Au contraire, ils la rendraient plus virulente. Selon l’auteur de l’étude, les personnes touchées ont subi jusqu’à maintenant des traitements inadéquats. «La plupart des patients reçoivent des traitements beaucoup trop faibles qui ciblent d’autres parasites», a dit Dre Gesink à global News. Le mycoplasma genitalium serait maintenant 10 fois plus commun que la syphilis, mais contrairement à cette maladie qui affecte presque exclusivement les hommes (97 %), cette nouvelle infection touche également les personnes des deux sexes. Dans l’étude, 1193 personnes ont été testées : 4,5 % des hommes et 3,2 % des femmes ont obtenu des résultats positifs. Dre Gesink et ses collègues ont récemment développé un test pour détecter cette infection et elle espère qu’il sera bientôt utilisé dans toutes les cliniques du Canada. «Non seulement le mycoplasma genitalium est aussi répandu que la chlamydia et la gonorrhée au Canada, il est ici depuis assez longtemps, et il n’a pas encore été véritablement traité», affirme la Dre Gesink. Les symptômes du mycoplasma genitalium ressemblent à ceux de la chlamydia et de la gonorrhée, et peuvent entraîner des inflammations pelviennes et la stérilité. Toutefois, les traitements pour ces deux infections ne conviennent pas pour le combattre. Au contraire, ils la rendraient plus virulente. Selon l’auteur de l’étude, les personnes touchées ont subi jusqu’à maintenant des traitements inadéquats. «La plupart des patients reçoivent des traitements beaucoup trop faibles qui ciblent d’autres parasites», a dit Dre Gesink à global News. Le mycoplasma genitalium serait maintenant 10 fois plus commun que la syphilis, mais contrairement à cette maladie qui affecte presque exclusivement les hommes (97 %), cette nouvelle infection touche également les personnes des deux sexes. Dans l’étude, 1193 personnes ont été testées : 4,5 % des hommes et 3,2 % des femmes ont obtenu des résultats positifs. Dre Gesink et ses collègues ont récemment développé un test pour détecter cette infection et elle espère qu’il sera bientôt utilisé dans toutes les cliniques du Canad Source : Tva Alexandre Beaupré | Actualité & Santé
24 Mai 2016 | 21:05 EDT De nombreux médecins de famille du Québec n'adhèrent pas aux 50 supercliniques que le ministre Gaétan Barrette veut implanter dans les zones les plus peuplées.Réunis en conseil général samedi à Montréal, ils ont dénoncé la façon unilatérale de procéder du ministre et croient qu'il faudrait d'abord régler d'autres problèmes plus urgents pour permettre un meilleur accès aux patients.Josée Bouchard est médecin de famille dans le Bas-Saint-Laurent. Comme plusieurs de ses collègues, elle ne croit pas à la nécessité des supercliniques partout.«Il y a probablement des endroits où, oui, c’est nécessaire que ce soit ouvert 12 heures par jour, mais il y a des endroits où ça ne sert à rien que des médecins se tournent les pouces les samedis et les dimanches soirs», souligne-t-elle.Il y a, selon elle, des problèmes plus urgents pour améliorer et accélérer les soins au Québec, comme un accès plus rapide aux médecins spécialistes.«On envoie des requêtes pour faire des demandes de consultation, mais ça prend un temps fou avant que les patients soient appelés», déplore-t-elle.Autre problème: à Montréal, la propriétaire d’une clinique tente de recruter deux nouveaux médecins parce que deux autres vont quitter, mais elle ne peut pas le faire.«Pour travailler, un médecin a besoin d’un permis d’installation. Le nombre de permis octroyés à Montréal annuellement est de 75, mais ça nous en prendrait 530», mentionne-t-elle.Pendant ce temps, des patients qui n'ont pas de médecins de famille et qui se sont inscrits au guichet d'accès centralisé du ministère de la Santé ne savent pas que souvent, ils pourraient en obtenir un rapidement. Pour une raison inexpliquée, le système ne fournit pas.«Un médecin qui voudrait prendre de nouveaux patients, qui aurait de la place pour en prendre 100 nouveaux, tu dois commencer par une liste de 10 patients et tant que tu ne les as pas vus, tu ne peux pas en avoir d’autres», explique Guillaume Charbonneau, médecin de famille à Maniwaki.Les omnipraticiens en ont assez de se faire dire qu'ils ne veulent pas travailler les soirs de fin de semaine. Ils disent qu'ils font fonctionner les hôpitaux où plusieurs se retrouvent le week-end. C’est le cas d’Annie Gagnon, qui est médecin de famille à Trois-Rivières et qui fait des accouchements le samedi à l’hôpital.«Ce n’est pas que nous ne voulons pas travailler le samedi, c’est que l’on travaille déjà ailleurs le samedi!», dit-elle. Source: Tva Nouvelles Alexandre Beaupré | Actualité & Politique
30 Avril 2016 | 20:25 EDT Il y as environ un mois , je me suis pris en main , surtout à cause d'un ami qui ma fait prendre conscience que si je m'entraine , je pourrais évoluer plus vite que d'autre à cause de ma masse. J'ai un poids moyen pour mon âge , mais j'ai une bonne corpulence ^.^. Disons qu'au début je me demandais si j'allais voir les résultats vite, au bout d'un mois je vois une bonne différence. Je me suis pris en main aussi car je veux devenir pompier et bon aussi perdre du ventre. TiboInshape est un youtubeur qui me fait comprendre que ma différence peux être un avantage avec la muscu haha. C'est une bonne chaîne pour débutant comme pour habitué. C'est pas en restant sur ton lit en priant pour avoir un 6 pack que sa va apparaître faut suer ! C'est rendu une passion et je suis fier de le dire. Merci de faire circuler pour inciter le plus de jeune et adulte à ce prendre en main! Alexandre Beaupré | Training & Workout
26 Avril 2016 Un homme qui buvait des quantités très importantes d’eau depuis une quinzaine d’années en serait mort.
Sylvain Bougie, 47 ans, regardait la télévision avec des amis le 26 février dernier à Drummondville lorsqu'il a fait un arrêt cardio-respiratoire. Il est mort dans les heures suivantes d’une embolie pulmonaire aiguë, probablement parce que son corps contenait trop d’eau.Il a commencer à boire beaucoup d'eau lorsqu'il à commencer sont traitement contre la schizophrénie. -Alexandre Beaupré Actualité | 9 Mars 2016 D'après lui il y aurais de plus en plus de jeunes alcooliques.L'urgence du plus important hôpital de la Nouvelle-Écosse, le QE II d'Halifax, est habituée de traiter des gens qui souffrent d'une intoxication à l'alcool. Mais ce qui préoccupe l'un de ses urgentologues, c'est le nombre grandissant de jeunes qu'il voit.Les jeunes s'habituerais et sa serais de plus en plus normal de voir des jeunes alcooliques d'après des gens interviewé , mais selon l'urgentologue les jeunes commencerais à boire très jeune (voir même 10 ans !).
Source : Radio-Canada Santé -Alexandre Beaupré Santé | 02-03-2016 En pleine période de pointe pour la grippe, le temps d’attentes dans les urgences s’alourdit et faire craindre aux médecins que de plus en plus de parents s’y présente.La grippe fait rage pour les enfants les urgences sont remplis , les médecins débordés.La souche de la grippe qui touche le Québec cette année est l'influenza de type H1N1 et les enfants sont affectés.Il ne faut pas se précipiter dans les urgences des hopitaux pédiatriques car ils débordent toujours à l'instant même.La grippe ne sais pas encore propager , mais dans les semaines à venir elle devrais pas tarder. Plus de détails à venir. Source : Tva Nouvelles -Alexandre Beaupré Santé | 02-03-2016 |
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